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28 octobre 2010 4 28 /10 /octobre /2010 09:39

 

lesSentiersduGraphe

Gisèle Prevoteau

 

Ce sont toujours de beaux sentiers qu'il nous est proposé de parcourir. De beaux sentiers où nous pouvons, au passage, laisser quelques traces.

 

 

 

Rouge

 

 


Nathalie Dhénin

Poète, artiste peintre, Nathalie a le talent du coeur

son dernier recueil de Haïkus “Trios” vient de paraître aux éditions Adex

 

 

la feuille croquée

 

 

 

Jean-Claude 'Bikko'

 

 

Geste

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25 octobre 2010 1 25 /10 /octobre /2010 23:32

Si le haïku m'était conté....


il était une fois... mon nounours

 

Combien d'enfants parlent à leur nounours de leur joie, de leur peine...

Combien d'enfants ont pour ami leur nounours...

Combien d'enfants se consolent auprès de leur nounours...

 

Ce  livre permet une approche très pédagogique du haïku pour initier les enfants à la stucture du haïku, cet ouvrage emporte l'enfant dans l'univers du haïku de manière ludique.

 

Nounours

 

Nounours 2

 

 

 

 

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19 octobre 2010 2 19 /10 /octobre /2010 08:48

 

 

LA JEUNE FEMME ET LA MORT

Gravure monumentale par Marc Brunier Mesta

Artiste Clermontois

 

 

 




   

C’est, au deuxième sous-sol du beau musée d’art Roger-Quilliot, à Clermont-Ferrand (partie Montferrand, curieux monticule couvert de belles maisons mortes) une grande salle ronde, blanche, où les linogravures et les eaux-fortes de Marc Brunier-Mestas sont exposées jusqu’au 8 mars 2009. La linogravure est un médium violent, sans demi-teintes ; Marc Brunier-Mestas en tire des vignettes énigmatiques et mordantes, mais aussi de très grandes œuvres — représentations humaines et animales (les deux en même temps : l’artiste est un adepte des greffes sauvages), paysages. Familier de la Haute-Loire, il y va dessiner, retranscrit son impression sur la plaque de lino et fait affleurer dans le lacis des traits de gouge la vie cachée des sous-bois. Les eaux-fortes sont plus grises, apparemment plus délicates, mais elles sont possédées de la même ironie transformatrice. Tournant et retournant ces empreintes dans le puits de lumière du Musée Quilliot, l’on pense à Vachal, à Topor, certes, mais surtout à Marc lui-même, et à cette remarque acide de Richard Crevier, qui signe l’un des textes du très beau catalogue de l’exposition : “Ce travail subtil trouvera un public qui rougira de reconnaître en lui sa perversité.” C’est tout le mal qu’on souhaite au public et à Marc Brunier-Mesta

                                                                                                                            ASH


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18 octobre 2010 1 18 /10 /octobre /2010 15:44

 

 

Première partie

 

Né au Japon, le haïku est la forme poétique la plus courte et la plus concentrée au monde.

5,7 et 5 syllabes une seule ligne en japonais (17 mores), suffisent à dire la diversité des sensations éprouvées face à la réalité.

 

A l’origine, au XVIIème siècle, le tanka intègre un hokku (5-7-5 mores qui évoquent une saison) et un distique (7-7 mores qui donnent à percevoir un sentiment particulier).

 

Dès le XVIIème siècle, sous l’influence de

Matsuso BASHÔ MUNEFUSA (1644-1694) et de son école, des règles de construction tirées du hokku furent maintenues.

·        La rythmique 5-7-5

·        Le kigo (mot ou expression de saison)

·        Le kireji (phonème de césure) qui n’a pas en soi de sens précis et introduit une pause offerte au lecteur (en Occident la pause est souvent traduite par un tiret long).

 

Bashô

 

Au XVIIIème siècle, le haïkaï-renga perdait de sa popularité et les haïjins se consacraient à l'écriture du Hokku.

 

Yosa Busson (1644-1694), peintre et poète, met en évidence dans ses écrits son talent de peintre et réussi à évoquer des images précises et pleines de lumière. Les haïkus de Busson sont différents de ceux de BashÔ, ses expressions sont raffinées et font ressentir l'intemporel en se basant sur l'ordinaire.  Les Hokkus de Busson sont descriptifs mais dans l'idéalisation, il a voulu décrire les choses et non la chose elle même, dans ses hokkus Busson exploite la richesse des mots, ses écrits ont eu une grande influence sur le haïku moderne.

 

Yosa Busson est l'inventeur du Haïga (peinture accompagnée d'un haïku).

 

Buson

 

Issa Kobayashi (1763-1828) rompt avec la forme de classisisme du XVIIIème siècle de Busson, renouvelant le genre, plus tourné vers un type de romantisme en insufflant dans ses écrits, l’autoportrait, le sentiment personnel et l’autobiographie.

Selon Shiki, Issa se distingue des autres haïjins par le côté comique de ses haïkus en introduisant la comédie de situation, la satire et la compassion.

 

Le hokku, présenté de manière autonome, donnera naissance au haikaï.

 

Issa (d'après Muramatsu Shunpo)

Shiki Masoaka (1867-1902), après avoir découvert la philosophie occidentale, est convaincu que les descriptions brèves des choses et des faits sont efficaces et bien plus parlantes, il insiste sur l’importance du « shasei » soit l’objectivité du croquis ou la description d’après nature.

Shiki rompt avec la forme de romantisme du XIXème siècle.

L’innovation et le style de Shiki a eu un grand retentissement dans tous le japon ce qui à permis à de nombreux haïjins de retrouver l’engouement pour cette forme d’écriture.

Il fonda le journal « Hototogisu », (qui est un synonyme de son psudonyme).

Le terme de haïku (contraction de haikaï et de hokku) est seulement adopté au XIXème siècle et attribué au poète SHIKI MASAOKA qui fut un des grands rénovateurs de la poésie japonaise.

Il modernisa et rebaptisa les formes traditionnelles de « waka » en  tanka  et de « hokku » en haïku.

De nos jours le haïgaï-renga est connu sous le nom de « renku » mais peu de haijins s’intéressent à cette forme poétique.

 

Shiki (d'après photo)

Shiki (signifiant petit coucou) est considéré comme l’un des quatre maîtres classiques du haïku japonais avec BashÔ, Busson et Issa.

 

(toutes les encres sont des reproductions d'après photos ou autres documents)

 

 Graziella Dupuy

18 octobre 2010

 

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17 octobre 2010 7 17 /10 /octobre /2010 16:34

 


 

PATRICL BERHAULT 8B+

 

 

Quand la grimpe devient danse...

Un des premier 8b+ de l'histoire ouvert en 86 par Patrick Berhault

 

 

 

 

"Je grimpe pour me sentir en harmonie avec moi-même, parce que je vis dans l'instant, parce que c'est une forme d'expression éthique et esthétique par laquelle je peux me réaliser, parce que je recherche la liberté totale du corps et de l'esprit. Et parce que ça me plaît." Puis, dans un même souffle : "Regardez Noureev. Il est devenu Noureev parce qu'il avait en puissance les qualités qu'il a développées par un constant entraînement. Le mouvement est pour lui une joie intense - pour lui et pour ceux qui le regardent."

 

Grimpe en solo

Esprit sauvage des sommets

appel du dévers

 

 

 

 

 

 

Hommage à Patricl Berhault

Doux comme un agneau, fort comme un roc. A la fois père, alpiniste et comédien. Une âme d'enfant dans un corps d'adulte. Une force tranquille, un esprit sauvage. (Dictionnaire Labrune)

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17 octobre 2010 7 17 /10 /octobre /2010 10:46

Dead Moon, c’est un peu Romeo & Juliette transposé dans monde de Fantasy

Tout sépare les deux familles. La première vénère la magie et la spiritualité tandis que la seconde ne jure que par la force guerrière et la raison. Luna est une splendide jeune femme à la tête du clan You, Marte un massif et valeureux guerrier, chef des Chan. Malgré leurs nombreuses différences, ils vont être frappés par l’amour et la passion. Inutile de vous dire que ces sentiments auront de fâcheuses conséquences pour Louyang..

 

 

       
       
Dead Moon couvertureDead moon couverture   

     
2566457377 1-copie-1Luna
        
789082930Luna
          
1005-dm-epiloguecouverturenormaleDead monn couverture
       
MARSMars
         
Un conte fantastique grandiose et brutal. L'oeuvre la plus ambitieuse de Luis Royo. Deux héros : une femme, Luna, et un homme, Marte. Deux familles rivales, chacune vivant dans sa forteresse, aux deux extrémités dune ville qui souffre des conséquences de cette passion. Une histoire violente et romantique qui mène à l'Apocalypse, un conte aux saveurs orientales, à la fois gothique et tragique, un clin d'oeil à la disparition de Sodome.
    
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15 octobre 2010 5 15 /10 /octobre /2010 09:28

si bien préservé
Photo Paul Lutz - Haïku Graziella Dupuy

 

 

  encore plus étiréePhoto Paul Lutz  - Haïku Graziella Dupuy

 

 

le Puy de DômePhoto Paul Lutz  - Haïku Graziella Dupuy

 


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14 octobre 2010 4 14 /10 /octobre /2010 15:22

SINUEUX  

La Moldau est un poème symphonique écrit pour grand orchestre par le compositeur Bedrich Smetana. Le poème symphonique est une pièce inspirée par une idée extramusicale comme un poème, un tableau, une description de paysage.

 

 

 

 

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14 octobre 2010 4 14 /10 /octobre /2010 14:10

 

laissez vous emporter par la magie de la voix

 

         
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14 octobre 2010 4 14 /10 /octobre /2010 12:44

 
 
si bien préservéPhoto Paul Lutz - Haïku Graziella Dupuy

 


Un simple regard  Photo Paul Lutz  - Haïku Graziella Dupuy         

 

 

terre volcanique                                         Photo Paul Lutz  - Haïku Graziella Dupuy                                               

 

 

                
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